lundi 11 août 2014

Mon corps machine et Mes cerveaux

                            Mon corps machine et Mes cerveaux
Mon corps est une très belle chaudière composée de 73 % d’eau à 37°. Quand mon organisme ne fonctionne pas et qu’il est attaqué par des vilaines bactéries, mon cerveau Reptilien, qui est le cerveau de la colère, des pulsions, des angoisses envoie des impulsions à mon cerveau Néocortex qui lui est le cerveau des imaginations, de la créativité et de la volonté qui lui commande l’organisme qui met en route les globules blanches qui accueillent  gentiment et éliminent en douceur les vilaines bactéries qui me rendent malade.   Et pendant que l’organisme travaille et combat, une relation se met en place avec le troisième cerveau des émotions qui lui harmonise le bon déroulement des opérations.
Les anticorps sont capables de reconnaître un grand nombre d’antigènes agresseurs. Ils s’organisent pour accueillir l’étranger et trouver  les modalités d’ajustement afin que ce dernier s’intègre et ne désorganise pas les équilibres intérieurs. A partir de cette situation, les anticorps combattent et s’organisent  pour éliminer l’ennemi. L’organisme à les capacités nécessaires pour éliminer lui-même une maladie sans aucune intervention thérapeutique. Les cerveaux exercent la régulation de l’organisme grâce à leurs capacités à traiter, trier, discriminer, sélectionner les informations et à effectuer les actions adéquates afin de maintenir le système en état de bon fonctionnement. Il faut chercher la voie la plus naturelle possible pour que le corps machine fonctionne à l’équilibre. Il faut mobiliser les forces de réorganisation des désordres installés dans une zone du corps machine. Il faut aider l’organisme à trouver le chemin et le sens d’un bon équilibre.
Il y a dans notre corps un potentiel de recherche d’équilibre qui se déclenche dès que notre vie est menacée. La maladie exprime une désorganisation intérieure qui oblige l’organisme à trouver une autre voie nécessaire à la poursuite du flux de la vie. C’est l’énergie vitale, et grâce à ce potentiel inné de remaniement des équilibres internes, chacun d’entre nous, en cas de maladie, qu’elle soit banale, épidémique ou très grave peut mobiliser les mécanismes qui permettent au corps de chercher un équilibre. C’est une réaction naturelle d’auto guérison.
Avec la maladie, il est prioritaire d’organiser sa vie non pas en fonction des risques supposés que nous fait courir la maladie, mais en fonction de l’énergie désirante qui nous anime. C’est à cette condition que le corps pourra s’organiser afin de trouver, en mobilisant les ressources dont on ne soupçonne même pas l’existence les moyens d’établir un autre équilibre. Donner le pouvoir à la maladie c’est méconnaitre les capacités du corps.

La nature est le médecin de la maladie. Elle trouve elle-même les voies et les moyens, sans instruction et sans savoir, elle fait ce qu’il convient de faire. Les animaux ne consultent pas le médecin, ils se soignent avec la nature et trouvent l’équilibre nécessaire au bon fonctionnement de leurs corps machine. L’homme doit chercher les moyens les plus naturels possibles et aller chercher le potentiel insoupçonné qui lui permettra de trouver le chemin de la guérison et du mieux-être. Mr Bocquet André le 22 07 2014

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