Mon corps machine et Mes cerveaux
Mon corps est une très
belle chaudière composée de 73 % d’eau à 37°. Quand mon organisme ne fonctionne
pas et qu’il est attaqué par des vilaines bactéries, mon cerveau Reptilien, qui
est le cerveau de la colère, des pulsions, des angoisses envoie des impulsions
à mon cerveau Néocortex qui lui est le cerveau des imaginations, de la
créativité et de la volonté qui lui commande l’organisme qui met en route les
globules blanches qui accueillent
gentiment et éliminent en douceur les vilaines bactéries qui me rendent
malade. Et pendant que l’organisme
travaille et combat, une relation se met en place avec le troisième cerveau des
émotions qui lui harmonise le bon déroulement des opérations.
Les anticorps sont
capables de reconnaître un grand nombre d’antigènes agresseurs. Ils
s’organisent pour accueillir l’étranger et trouver les modalités d’ajustement afin que ce
dernier s’intègre et ne désorganise pas les équilibres intérieurs. A partir de
cette situation, les anticorps combattent et s’organisent pour éliminer l’ennemi. L’organisme à les
capacités nécessaires pour éliminer lui-même une maladie sans aucune
intervention thérapeutique. Les cerveaux exercent la régulation de l’organisme grâce
à leurs capacités à traiter, trier, discriminer, sélectionner les informations
et à effectuer les actions adéquates afin de maintenir le système en état de
bon fonctionnement. Il faut chercher la voie la plus naturelle possible pour
que le corps machine fonctionne à l’équilibre. Il faut mobiliser les forces de
réorganisation des désordres installés dans une zone du corps machine. Il faut
aider l’organisme à trouver le chemin et le sens d’un bon équilibre.
Il y a dans notre corps
un potentiel de recherche d’équilibre qui se déclenche dès que notre vie est
menacée. La maladie exprime une désorganisation intérieure qui oblige
l’organisme à trouver une autre voie nécessaire à la poursuite du flux de la
vie. C’est l’énergie vitale, et grâce à ce potentiel inné de remaniement des
équilibres internes, chacun d’entre nous, en cas de maladie, qu’elle soit
banale, épidémique ou très grave peut mobiliser les mécanismes qui permettent
au corps de chercher un équilibre. C’est une réaction naturelle d’auto guérison.
Avec la maladie, il est
prioritaire d’organiser sa vie non pas en fonction des risques supposés que
nous fait courir la maladie, mais en fonction de l’énergie désirante qui nous
anime. C’est à cette condition que le corps pourra s’organiser afin de trouver,
en mobilisant les ressources dont on ne soupçonne même pas l’existence les
moyens d’établir un autre équilibre. Donner le pouvoir à la maladie c’est
méconnaitre les capacités du corps.
La nature est le
médecin de la maladie. Elle trouve elle-même les voies et les moyens, sans
instruction et sans savoir, elle fait ce qu’il convient de faire. Les animaux
ne consultent pas le médecin, ils se soignent avec la nature et trouvent
l’équilibre nécessaire au bon fonctionnement de leurs corps machine. L’homme
doit chercher les moyens les plus naturels possibles et aller chercher le
potentiel insoupçonné qui lui permettra de trouver le chemin de la guérison et
du mieux-être. Mr Bocquet André le 22 07
2014
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